mardi 16 décembre 2008

A Thing Called Love

Six foot six he stood on the ground
Weighed two hundred and thirty five pounds
But I saw that giant of a man brought down
To his knees by love

He was the kind of man that would gamble on luck
Look you in the eye and never back up
But I saw him cryin' like a little whipped pup
Because of love

Can't see it with your eyes, hold it in your hand but
Like the wind that covers our land
Strong enough to rule the heart of any man
This thing called love

It can lift you up, it can let you down
Take your world turn it all around
Ever since time nothing's ever been found
Stronger than love

Most men are like me they struggle in doubt
They trouble their minds day in and day out
Too busy with livin' to worry about
A word called love

But when I see a mother's tenderness
As she holds her young close to her brest
Then I thank God this world's been blessed
With a word called love

Can't see it with your eyes, hold it in your hand but
Like the wind that covers our land
Strong enough to rule the heart of any man
This thing called love

 

 

Magnifique chanson de Jerry Reed, ode à l'amour capable de vaincre les cœurs les plus endurcis. Certes ! Mais tout autant les cœurs les plus tendres, pour le meilleur comme pour le pire !

 

Cette chose : l’Amour

Presque deux mètres sur ses pieds,
Plus de cent kilos dans ses souliers,
Mais j’ai vu ce géant s’agenouiller
À cause de l’Amour

C’était le genre de gars qui sait tenter sa chance,
Et vous tenir tête avec arrogance,
Mais je l’ai vu pleurer comme un petit chien qu’on tance
Pour son Amour.

Tu n’ peux pas la voir, ni tenir à la main,
Mais comme le vent fait tourner les moulins
Elle régit le cœur d’un homme et son destin,
Cette chose : l’Amour.

Elle t’élève au ciel, ou te jette à terre,
Peut bouleverser ton univers.
De tous les temps on n’a pu trouver guère
Plus fort qu’Amour.

Tant d’hommes comme moi doutent et restent sourds
À son appel, luttant jour après jour
Pour leur survie sans espérer le secours
De cette chose : l’Amour.

Mais quand je vois avec quelle tendresse
Une mère couvr’ son enfant de caresses
Je prie Dieu afin qu’il ne cesse
De créer l’Amour.

Tu n’ peux pas la voir, ni tenir à la main,
Mais comme le vent fait tourner les moulins
Elle régit le cœur d’un homme et son destin,
Cette chose : l’Amour

(Traduction – Adaptation : Polyphrène)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous avez la parole :