mardi 21 septembre 2010

Home

Well, I've been a traveler most of my life
Never took a home, never took a wife
Ran away young and decided to roam
Wanna see my mama and my daddy back home

Home, where the river runs cold
The water tastes good, the winters ain't cold
Home, where the trees grow tall
The home fires burn, the whippoorwills call
[…]




Cette chanson, écrite par Roger Miller et chantée avec beaucoup d’entrain et d’élégance par Jim Reeves, reprend le thème très classique de l’aventurier solitaire qui rêve de retourner dans son foyer (on repense au légendaire « Emmène-moi ; mon cœur est triste et j’ai mal aux pieds. Emmène-moi, je ne veux plus voyager » de Graeme Allwright).
J’ignore combien de chansons ont été écrites sur ce thème (j’allais écrire « ce mythe ») mais celle-ci n’est pas la plus mauvaise, et le ton alerte de Jim Reeves crée un contraste subtil avec la mélancolie du propos.
Un bon moment et une référence du Country…



Là bas

J’ai roulé ma bosse dans le monde entier
Jamais de foyer, jamais marié
Parti jeune pour voir où iraient mes pas
Je veux rentrer pour revoir maman et papa

Là, où coule un frais torrent
Où l’eau est si bonne, et l’hiver clément
Où les arbres sont grands
La cheminée fume, et crie l’engoulevent

Je me souviens des histoires que mon père racontait
J’ouvrais grand les yeux, et il soupirait
Je n’ me lassais pas d’entendre avec joie
Le récit de sa vie de petit garçon comme moi

Maman chérie, Maman, peux-tu encore m’aimer ?
J’ai tant vagabondé, puis-je encore te combler ?
Maman m’a écrit, il n’y a pas si longtemps
Elle dit « Reviens, tu me manques tant ! »

(Traduction - Adaptation : Polyphrène)

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